Demain commence une nouvelle série d’ateliers pour sensibiliser les habitant(e)s à la question des liens entre leur alimentation et leur santé. Il aura lieu à La Machinerie, à Grenoble. Infos pratiques
Mise à jour : 1er février 2025 (ajout de dates d’ateliers)
La Machinerie est un tiers-lieu situé 11 rue des peupliers dans le sud de la commune. Il a ouvert en 2021 et dépend de la Régie de quartier des quartiers Villeneuve, Village olympique et Vigny-Musset. Il combine plusieurs activités : un café associatif, des ateliers bricolage et numérique, une ressourcerie, une utilothèque ; et donc désormais des ateliers alimentation.
Le cycle d’ateliers se déroulera sur toute l’année, chaque troisième mardi du mois.
À la différence du cycle alimentation et santé proposé pour la troisième saison par Cultivons et le Bar Radis, qui est animé par des experts (médecin, cheffe cuisinier, spécialiste en nutrition), les ateliers proposés à La Machinerie s’appuieront sur les savoir-faire et les spécialités culinaires des habitant(e)s. Pour le premier atelier (le 21 janvier), ludique et participatif, chacun(e) est invité(e) à amener une « recette de grand-mère ».
En février : le mardi 18, atelier de préparation de pain perdu.
En mars : le mardi 25, recettes sans cuisson.
Il faut s’inscrire pour pouvoir participer : lamachinerie@regiegrenoble.fr
Cette série d’atelier s’insère dans un programme d’activités qui va mobiliser toute l’année 2025 un réseau (coordonné par la Régie de quartier) d’organismes impliqués dans la transition alimentaire, et qui proposeront :
– des ateliers de cuisine, de jardinage, de bricolage ;
– des banquets et goûters ;
– des conférences, rencontres et films ;
– des visites de fermes.
Retrouvez dans l’agenda d’oYez tous les ateliers et activités en lien avec une alimentation meilleure pour sa santé et pour la nature.
La mise en place de cycle d’ateliers comme ceux de La Machinerie ou de Cultivons/Bar Radis permet d’étoffer et diversifier les choix d’activités en lien avec l’agriculture et l’alimentation durables et résilientes. Ces ateliers sont cependant encore trop peu nombreux et fréquents, pour une ville de 150 000 habitant(e)s et une métropole qui en compte 450 000, si le but visé est de changer les manières de faire ses courses, de cuisiner et de manger.